Vous connaissez surement ces périodes qu’on appelle le chao
Il y un problème puis deux puis trois…
Nous avons l’impression que les malheurs, les erreurs s'enchainent et à un moment donné nous sommes obligé de lâcher.
L'humilité du chaos
A un moment où le chaos rencontre notre vie, nous sommes obligé de nous effondrer.
Nous renoncerons alors ce lâcher prise douloureux qui nous amène dans une profonde humilité face à l'expérience que nous traversons.
Nous apprenons alors quelque chose :
"Ce n’est pas ce que je veux mais ce que je peux faire qui compte"
Dans ces périodes l’enseignent et l’initiation est dans la modestie de son action.
Quand quelqu’un nous regarde et nous dit:
« Tu es courageux(se) ! »
Cela peut faire du bien mais en fait ce que nous avons envie de répondre c’est:
« Est-ce que j’ai le choix !? "
Nous ne pouvons que subir et rencontrer dans cette immense faiblesse la force de celui qui lâche et qui retourne à l‘infiniment petit de:
Les petites choses du quotidien deviennent des joies (le petit déjeuner du matin, le vent qui passe dans les feuilles de son arbre en face de chez soi…)
Au cœur de ce cyclone nous redécouvrons des cadeaux de la vie alors que nous croyons être des dus.
Nous oublions oublie que ce qui est vécu ne sont pas des agressions mais en fait des choses, justes là à ce moment que nous traversons avec équanimité.
Quand le cœur s’éveil il n’y qu’un mot qui apparait : la vie
Bonne route à tous (tes) !
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